Voyages Scolaires Educatifs, Unosel « futé(e) » voit rouge, dans le sens des départs, en Avril !
Voyages Scolaires Educatifs, Unosel « futé(e) » voit rouge, dans le sens des départs, en Avril !
Selon une étude du SNPDEN (Syndicat National des Personnels de Direction de l’Éducation Nationale), il y aurait entre 0 et 6 voyages organisés par année et par établissement scolaire, selon la taille de ce dernier.
En 2006, 600 000 jeunes ont effectué un voyage scolaire éducatif, ce qui représente 2 400 000 journées.
L’objectif d’un voyage scolaire n’est certes pas l’acquisition de connaissances fondamentales. Mais il n’en reste pas moins pédagogique.
« Les classes de découverte offrent, grandeur nature, les mêmes avantages que les anciennes leçons de choses : elles permettent la confrontation d’un savoir théorique, dispensé dans les murs de la classe, à une réalité souvent plus complexe et multiforme », analyse Béatrice Pavy, députée de la Sarthe et auteur en 2004 d’un rapport sur les voyages scolaires pour lequel l’Unosel avait été auditée.
Le Voyage Scolaire Educatif est un formidable outil : de découverte des pays, des sociétés, des civilisations qui nous entourent, de culture générale par un contenu élaboré en stricte liaison avec les programmes scolaires, de démocratisation du voyage «intelligent » à un prix qui ne soit pas un facteur de discrimination et d’exclusion, d’intégration de tous par l’approche obligatoirement collective de la démarche.
Le Voyage Scolaire Educatif permet aux jeunes de prendre conscience que l’apprentissage d’une matière ne se limite ni au temps, ni à l’espace de la classe, mais que cet apprentissage les accompagnera tout au long de leur vie.
Apprendre en groupe, se « frotter» aux autres, accepter les différences, devient plus que
jamais un facteur déterminant d’évolution, d’émancipation, et de progrès personnel. En outre,
confronté à des activités nouvelles, l’enfant peut révéler des talents méconnus !
Les VSE (Voyages Scolaires Educatifs) sont l’occasion de travailler autrement et de raviver la
curiosité et le goût de l’apprentissage chez les enfants :
« En donnant accès à un monde de culture, à des milieux géographiques nouveaux ou à la
pratique d’activités inédites, les voyages scolaires participent à la réduction d’inégalités sociales
patentes », résume Béatrice Pavy.
Si il faut donner encore plus de souffle à ces enjeux, on assiste malheureusement depuis quelques années à un phénomène de plus en plus marqué : la concentration des voyages scolaires à l’étranger sur des périodes de plus en plus réduites et principalement sur la période qui va de mars à avril.
Ceci s’explique par ce que l’on appelle « la semaine banalisée » : pour des raisons d’organisations et notamment donner la possibilité aux enseignants d’accompagner les activités des élèves, les établissements « banalisent » une semaine, en mars ou en avril, semaine pendant laquelle il n’y a pas de cours pour faciliter l’organisation des activités culturelles et sportives péri éducatives.
Si cette semaine banalisée est appréciable pour des raisons pratiques d’organisation, elle présente toutefois, par contrecoup, des effets tout à fait regrettables sur les VSE : concentration des voyages et donc saturation des familles d’accueil, encombrement des sites à visiter, prestataires de transport débordés et en conséquence, renchérissement des coûts sur ces périodes très demandées, alors qu’il existe des périodes de basse saison aux tarifs attractifs.
Sans compter que créer une atmosphère de travail à quelques semaines des grandes vacances ou entre deux ponts relève du défi !
C’est pourquoi l’Unosel et ses organismes spécialisés dans le voyage scolaire souhaitent alerter les autorités de tutelle, les responsables d’établissements, les fédérations de parents d’élèves, les parents… pour qu’ils facilitent des sorties à l’automne, en début d’année scolaire. Un voyage d’intégration avant la Toussaint par exemple renforce la cohésion d’une classe pour toute l’année !
Organiser un voyage, c’est monter un dossier pédagogique pour convaincre le chef d’établissement et les éventuels partenaires financiers, c’est récolter les accords et les autorisations de sortie de toutes les familles, c’est trouver de l’argent, choisir une destination, un moyen de transport, d’hébergement, construire un programme de visites et trouver les intervenants, élaborer un support de travail pour les élèves une fois sur place, une évaluation au retour… Autrement dit, c’est beaucoup de travail pour le responsable du projet, dans la plupart des cas, le professeur. Et le circuit décisionnel est long, il faut compter au minimum deux mois pour monter le projet, trouver les financements, convaincre le chef d’établissement et attendre l’aval des autorités académiques !
Pour permettre au professeur et à ses élèves de réaliser « leur » voyage scolaire dans des conditions optimum de sécurité, de confort et de réduction des coûts, nous pensons, à l’Unosel, qu’il est temps de changer les habitudes d’achat ! Certains établissements le réalisent déjà, pourquoi pas plus ?
Nous mettons à la disposition de tous le savoir faire de l’Unosel, fruit de la capitalisation de 30 années de travail ;En 2007 l’Unosel représentait 53 000 séjours linguistiques individuels, 44000 séjours éducatifs et comptait plus de 310 000 participants dans les voyages scolaires pédagogiques.
Une page du site Unosel est entièrement dédiée aux voyages scolaires et comporte de nombreuses informations pratiques : textes réglementaires, rapports, informations et enquêtes de terrain, conseils…
http://www.unosel.com/voyages-scolaires-educatif.html
Les coordonnées de nos spécialistes agréés VSE :
http://www.unosel.com/voyages-scolaires-educatif.html
En savoir plus sur l’Unosel :
http://www.unosel.com/qui-sommes-nous.html
Contact Presse
Sylviane Halphen
Téléphone : 01 44 64 80 30
e-mail : info@unosel.com