Trésor de Gaïa fête ses 5 ans
C’est aujourd’hui une femme accomplie qui est fière de nous parler de la petite entreprise qu’elle a su développer et voir évoluer ces cinq dernières années.
Le 1er Octobre 2005, suite à l’engouement de son entourage pour ses créations, Emmanuelle De Bergh se lance et crée seule Trésor de Gaïa. L’artiste réalise de nombreux bijoux, des modèles uniques et fabriqués à la main, sortis tout droit de son imagination. Elle travaille à partir d’argent massif (.925, .950 et .980), de pierres fines (turquoise, onyx, malachite, améthyste…) et de Seaglass rapportés de ses voyages autour du monde.
Les évènements marquants de 2005 à 2010
De nombreux évènements ont contribué au succès de Trésor de Gaïa :
– Une première exposition de ses créations dans une petite galerie d’art parisienne en février 2007
– Une seconde exposition peu après aux prestigieuses Galeries Lafayette du Boulevard Haussmann à Paris
– Une présentation de ses bijoux au Salon de Belgique en tant qu’invité d’honneur
– Sa rencontre avec Henri N. Jackson, célèbre couturier new-yorkais, qui lui offre l’opportunité de créer des bijoux pour habiller ses mannequins qui défileront alors devant le tout-Paris en juillet 2007
– La création et le développement d’un site de vente en ligne digne des plus grands noms de la bijouterie fine avec
– L’ouverture de son site aux jeunes talents : Emmanuelle De Bergh propose ainsi à divers artistes d’exposer leurs créations via son site.
– Sa présence sur les Marchés de Noël en région parisienne (cf. site pour lieux et dates)
– La mise en place, début 2010, de la vente aux professionnels de bijoux suite à de nombreuses demandes
Une constante progression
Depuis sa création en octobre 2005, les chiffres n’ont cessé de croître. Aujourd’hui, malgré la crise financière, l’artiste est fière d’annoncer que son chiffre d’affaire et le nombre des commandes sur son site continuent de progresser.
La fréquentation a doublé en un an et les clients fidèles ainsi que les ventes n’ont cessé de croître de façon significatives ces 5 dernières années. Le développement de la vente de bijoux aux professionnels cette année permet d’accroître de surcroît le chiffre d’affaire global de 2010.
Une image de qualité et de service
L’entreprise base sa réussite sur l’offre de qualité et de service qu’elle propose à ses clients. Elle met également un point d’honneur à concilier originalité et écologie.
Toutes les matières premières utilisées sont des matières nobles, de qualité, naturelles ou issues du recyclage :
– pierres fines naturelles,
– seaglass*,
– argent massif (925/1000 minimum),
– verre dichroïque,
– composants électroniques recyclés,
– Cacao naturel dans la gamme de soin de beauté et de bien-être (sans paraben, sans phenoxyethanol, sans test sur les animaux) …
Pas de machine, pas de travail à la chaîne. Toutes les créations sont entièrement réalisées à la main soit par la fondatrice de Trésor de Gaïa, Emmanuelle De Bergh, soit par des artisans français ou mexicains qui ont conquit la jeune femme par la qualité de leur travail et leur respect pour l’environnement. C’est ce travail manuel et ces matières premières qui rendent chaque pièce si unique et si originale. D’autre part, tous les bijoux argent créés en France ou importés du Mexique font l’objet d’un contrôle auprès du Bureau de Garantie et des Douanes de Paris. Tous les bijoux bénéficient d’un certificat d’authenticité.
Le développement durable
Trésor de Gaïa travaille directement avec les artisans, sans intermédiaires, pour un commerce équitable et durable. Emmanuelle De Bergh participe ainsi au développement de petites et très petites structures et s’inscrit dans une démarche d’éco responsabilité qui lui est chère.
Cette créatrice autodidacte a su faire de sa passion son métier.
* Les Seaglass sont des éclats de verre qui ont passé des années, voire des décennies, dans la mer. Ramassés à la main sur les plages des quatre coins du monde, telles que Porto Rico, Espagne, Canada, Etats-Unis, France…, leur forme est unique et varie selon le temps passé dans l’eau, le sel, le sable, les courants, les rochers rencontrés… En général un minimum de trois années de brassages dans la mer est nécessaire pour obtenir des seaglass suffisamment polis. Une fois les bords suffisamment polis et arrondis par la mer, ces seaglass deviennent alors de superbes joyaux pouvant servir à confectionner des bijoux originaux à vocation écologique, des objets décoratifs ou tout simplement des pièces à collectionner. Il ne faut pas les confondre avec le verre dépoli industriellement de plus en plus utilisé pour les bijoux fantaisie. Chez Trésor de Gaïa, aucun traitement chimique ni vernissage, le Seaglass reste tel qu’il a été ramassé.
Toutes les collections sont présentées sur le site de vente en ligne