Grippe A: le lecteur de biométrie RCM à la cantine, pas plus “dangereux” qu’un clavier d’ordinateur en libre-service

À l’heure où collégiens et lycéens reçoivent de leur établissement scolaire les consignes pour lutter contre la propagation de la grippe A, la société Alise, précurseur en équipement biométrique RCM (à reconnaissance du contour de la main) des restaurants scolaires, sensibilise ses utilisateurs au nettoyage non seulement de la plaque du lecteur de biométrie RCM qu’elle distribue et installe, mais aussi de tous les objets touchés, au quotidien, par tous, dans un établissement scolaire. Le lavage des mains avant de manger constituant le plus élémentaire des rappels…

Des réflexes d’hygiène à adopter partout et pas seulement devant le lecteur de biométrie RCM.
À travers la notice que la société Alise envoie aux gestionnaires des établissements scolaires équipés de lecteurs de biométrie RCM éponymes, Pierre Benguigui, son dirigeant, rappelle ce que plus personne n’ignore : que la grippe est une maladie infectieuse contagieuse, qui se transmet d’homme à homme. «Lors de la toux et des éternuements, de minuscules gouttelettes de salive sont projetées dans l’air, à la manière de véritables aérosols, explique-t-il. Ce sont elles qui contiennent le virus et le répandent. Mais le risque de contagion ne se limite pas à la fréquentation d’une personne malade. Le virus peut également pénétrer dans le nez ou la bouche lorsque l’on porte sa main au visage après avoir touché une surface contaminée. Tous les objets de la vie quotidienne présents dans un établissement scolaire et, de ce fait, fréquemment “sollicités”, peuvent donc potentiellement devenir des supports contaminants : poignées de portes, dossiers de chaises, boutons d’ascenseurs, rampes d’escaliers, claviers d’ordinateurs en libre-service, etc. La plaque du lecteur biométrique RCM installé au self est donc l’un des ces objets, parmi tant d’autres. Ni plus ni moins “dangereux”, il doit être nettoyé comme tout objet susceptible d’être manipulé par plusieurs personnes, à l’aide d’un chiffon propre imbibé, au mieux, de liquide lave-vitre. » Le courrier rappelle enfin que les professionnels de santé recommandent de se laver les mains fréquemment, d’utiliser des mouchoirs en papier, de mettre sa main devant la bouche lorsque l’on éternue ou lorsque l’on tousse, et d’aérer les pièces communes. Hygiène, bon sens et politesse, des réflexes à adopter partout, en toutes circonstances, et pas uniquement en présence d’un lecteur de biométrie RCM!

La biométrie RCM Alise, comment ça marche ?
Le lecteur de biométrie RCM Alise permet l’identification des convives dans les cantines des collèges et lycées. Il suffit à l’élève de taper un code de 1 à 4 chiffres puis de poser sa main sur le lecteur. Ce système d’identification fait l’objet, dans le cadre d’un restaurant scolaire, d’une autorisation unique de la Cnil (AU-009). Il utilise la technologie en 3D de la morphologie, qui consiste à réaliser une photo numérique de la main pour en enregistrer la forme. À la différence du relevé des empreintes digitales, ce système ne laisse pas de trace et rend impossible la constitution de fichiers ou l’utilisation de données personnelles à des fins abusives. Chaque lecteur biométrique RCM Alise est systématiquement associé à un lecteur de cartes magnétiques, une alternative qui permet de gérer le passage des convives exceptionnels ou ne souhaitant pas utiliser la borne biométrique

De nouveaux établissements équipés pour la rentrée
Ce sont 230 établissements qui sont aujourd’hui équipés en lecteur de biométrie RCM Alise, soit une augmentation de plus de 40% par rapport à la rentrée 2008. En tête des régions : la Provence-Alpes-Côte d’Azur et l’Île-de-France.

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