Dépôt de brevet de la société ASKOM : Les agents dialoguants en évolution et apprentissage constants, tout au long de leur vie virtuelle
Actrice émergente d’un marché en plein développement, la société ASKOM a su tirer son épingle du jeu en proposant un outil novateur en termes de dialogues hommes/machines et notamment par un procédé d’enrichissement proactif des connaissances, dont elle vient de déposer le brevet.
Une possibilité de rendre des agents virtuels artificiellement intelligents…
Les agents virtuels permettent de palier au manque d’humanité ambiante des sites internet. Bien plus que de simples images animées, ils se doivent d’être des assistants de recherche de confiance, pour les internautes qui s’adressent à eux. Ils peuvent ainsi palier, de manière ludique, à certains FAQ ou autres didacticiels complexes.
Les « Assistants de Navigation », la solution basique d’ASKOM répondant aux besoins des TPE-PME, connaissent, à leur création, un certain nombre d’informations relatives à leur identité et à leur métier. Cela les personnalise et, leur permet de tenir une conversation efficace avec l’utilisateur.
Xavier LUCAS, le président de la société, précise : « La force de la technologie ASKOM est de ne pas se contenter d’analyser simplement les dialogues de nos agents, afin d’améliorer leur savoir-faire tout au long de leur existence ; mais de proposer au client un enrichissement proactif de leurs connaissances, grâce notamment à la gestion en amont du lexique de l’agent. »
… grâce à une technologie lexicale pointue
Pour ce faire, un long travail de lexicologie et de réflexion d’implémentation de connaissances, basé sur la compilation du savoir des différents agents ASKOM présents sur le web, a été réalisé. C’est pour cette invention qu’un brevet a été déposé.
« Notre technologie consiste à mettre à jour automatiquement des bases de données, afin que l’agent soit capable de délivrer des réponses structurées sans que l’Homme n’intervienne sans cesse. », précise Adrienne GEHANNIN, Responsable de Projet, à l’origine du brevet, ainsi qu’Antoine SPAETER, Directeur Technique.
En outre, les différentes bases de données s’entre-alimentent à l’aide de requêtes d’incorporation. Il est toutefois possible de modérer l’ajout de vocabulaires non désirés. Il va sans dire que cette technique a longtemps été testée, en termes de fiabilité, et qu’elle est, à ce jour, opérationnelle.
Quant à la R&D, elle est toujours en vigueur et ASKOM s’efforce de garder la primeur acquise, par rapport à la concurrence, en termes d’avancées lexicologiques.