Cambriolages : les Français en appartement se sentent moins bien protégés que ceux en maison
KIVALA SYSTEME, le système de gestion des accès nouvelle génération, a mené une enquête auprès de 3 416 personnes sur l’angoissante question des cambriolages.
1 682 personnes habitant en appartement et 1 734 personnes habitant en maison témoignent à travers ce sondage* d’un sentiment d’insécurité grandissant.
« Selon les dernières statistiques du Ministère de l’Intérieur, le taux de cambriolage en France a augmenté de 3% en 2023 par rapport à 2022. Ainsi, plus de 217 000 vols ont été recensés sur l’ensemble de l’année, avec des pics plus importants en été et en décembre. Il semble que les appartements soient de plus en plus visés même si les chiffres officiels manquent encore sur les cambriolages commis dans les immeubles. Une chose est cependant avérée : les vols sont beaucoup plus importants en milieu urbain, car les accès aux logements sont beaucoup plus simples mais pourtant ne bénéficient pas de systèmes de sécurité fiables et modernes, comme le réclament les Français », a déclaré Jonathan Lascar, fondateur de KIVALA.
Appartement VS maison
En analysant différentes études, les maisons et les appartements sont globalement autant touchés par les cambriolages ou les tentatives d’effraction. Les écarts ne jouent que sur quelques unités, parfois en faveur des maisons et parfois des immeubles. Tout dépend du contexte, de la situation du logement et de son potentiel pour un voleur.
Ainsi, seulement 18 % des Français sont dans le vrai en déclarant qu’une maison ou un appartement sont aussi faciles à cambrioler l’une que l’autre.
Un manque de sécurité flagrant
En France, difficile de savoir combien de foyers sont équipés d’un système contre les cambriolages. Néanmoins, il semble que près d’un foyer sur deux dispose d’un système d’alarme contre les intrusions, selon plusieurs études compilées.
Cela étant, les Français ne se sentent pas pour autant en sécurité. En effet, plus de 53 % des personnes vivant dans une maison et plus de 65 % dans un appartement pensent ne pas être suffisamment protégés contre les cambriolages.
Des immeubles passoires
Pour les personnes qui vivent en appartement, le besoin de sécurité est encore plus fort. Ainsi, près de 92 % déclarent qu’ils aimeraient bénéficier de dispositifs plus modernes pour sécuriser l’accès de leur immeuble.
« Les appartements sont beaucoup plus exposés que les maisons, du fait de la fréquentation. En effet, un immeuble enregistre plus de 3 visiteurs par semaine. Des livreurs, facteurs, artisans, etc. Chaque mois, cela représente plus de 240 visiteurs. Pour un immeuble de 20 foyers, c’est donc 2 880 personnes extérieures qui connaissent le code d’accès du digicode. Si on comptabilise également les amis, les membres de la famille, ce chiffre dépasse certainement plus de 3 000 personnes. Il est donc normal que les habitants d’immeuble souhaitent disposer d’outils plus modernes pour sécuriser les entrées et ainsi pouvoir tracer les allers et venues et faire baisser les risques de cambriolages, de vols ou de dégradations », a commenté Jonathan Lascar, fondateur de KIVALA.
Un manque d’implication des syndics de copropriété… et de la Police !
Pour les personnes qui habitent en appartement, le verdict est sans appel : plus de 73 % considèrent que les syndics de copropriété n’agissent pas suffisamment pour protéger les accès des immeubles.
Pour les forces de l’ordre, même constat : 75 % estiment que la Police ou la Gendarmerie ne mettent pas en place suffisamment de services pour la protection et la surveillance des immeubles.
*Méthodologie : Enquête réalisée en août et septembre 2024 auprès de 3 416 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus (1 682 personnes habitant en appartement et 1 734 personnes habitant en maison). Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27 500 personnes en France). Entre le 28 août et le 5 septembre 2024, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l’échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s’appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.
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1 682 personnes habitant en appartement et 1 734 personnes habitant en maison témoignent à travers ce sondage* d’un sentiment d’insécurité grandissant.
« Selon les dernières statistiques du Ministère de l’Intérieur, le taux de cambriolage en France a augmenté de 3% en 2023 par rapport à 2022. Ainsi, plus de 217 000 vols ont été recensés sur l’ensemble de l’année, avec des pics plus importants en été et en décembre. Il semble que les appartements soient de plus en plus visés même si les chiffres officiels manquent encore sur les cambriolages commis dans les immeubles. Une chose est cependant avérée : les vols sont beaucoup plus importants en milieu urbain, car les accès aux logements sont beaucoup plus simples mais pourtant ne bénéficient pas de systèmes de sécurité fiables et modernes, comme le réclament les Français », a déclaré Jonathan Lascar, fondateur de KIVALA.
Appartement VS maison
En analysant différentes études, les maisons et les appartements sont globalement autant touchés par les cambriolages ou les tentatives d’effraction. Les écarts ne jouent que sur quelques unités, parfois en faveur des maisons et parfois des immeubles. Tout dépend du contexte, de la situation du logement et de son potentiel pour un voleur.
Ainsi, seulement 18 % des Français sont dans le vrai en déclarant qu’une maison ou un appartement sont aussi faciles à cambrioler l’une que l’autre.
Un manque de sécurité flagrant
En France, difficile de savoir combien de foyers sont équipés d’un système contre les cambriolages. Néanmoins, il semble que près d’un foyer sur deux dispose d’un système d’alarme contre les intrusions, selon plusieurs études compilées.
Cela étant, les Français ne se sentent pas pour autant en sécurité. En effet, plus de 53 % des personnes vivant dans une maison et plus de 65 % dans un appartement pensent ne pas être suffisamment protégés contre les cambriolages.
Des immeubles passoires
Pour les personnes qui vivent en appartement, le besoin de sécurité est encore plus fort. Ainsi, près de 92 % déclarent qu’ils aimeraient bénéficier de dispositifs plus modernes pour sécuriser l’accès de leur immeuble.
« Les appartements sont beaucoup plus exposés que les maisons, du fait de la fréquentation. En effet, un immeuble enregistre plus de 3 visiteurs par semaine. Des livreurs, facteurs, artisans, etc. Chaque mois, cela représente plus de 240 visiteurs. Pour un immeuble de 20 foyers, c’est donc 2 880 personnes extérieures qui connaissent le code d’accès du digicode. Si on comptabilise également les amis, les membres de la famille, ce chiffre dépasse certainement plus de 3 000 personnes. Il est donc normal que les habitants d’immeuble souhaitent disposer d’outils plus modernes pour sécuriser les entrées et ainsi pouvoir tracer les allers et venues et faire baisser les risques de cambriolages, de vols ou de dégradations », a commenté Jonathan Lascar, fondateur de KIVALA.
Un manque d’implication des syndics de copropriété… et de la Police !
Pour les personnes qui habitent en appartement, le verdict est sans appel : plus de 73 % considèrent que les syndics de copropriété n’agissent pas suffisamment pour protéger les accès des immeubles.
Pour les forces de l’ordre, même constat : 75 % estiment que la Police ou la Gendarmerie ne mettent pas en place suffisamment de services pour la protection et la surveillance des immeubles.
*Méthodologie : Enquête réalisée en août et septembre 2024 auprès de 3 416 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus (1 682 personnes habitant en appartement et 1 734 personnes habitant en maison). Sondage effectué en ligne à partir du panel de répondants BuzzPress (27 500 personnes en France). Entre le 28 août et le 5 septembre 2024, un sondage électronique a été envoyé par email et publié en ligne. Les réponses ont ensuite été compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l’échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s’appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.