LES FRANÇAIS SAVENT-ILS VRAIMENT MAITRISER LE CHAUFFAGE AU BOIS ?

HASE, fabricant allemand de poêles à bois de grande qualité depuis plus de 40 ans, a interrogé 2 101 personnes sur leurs connaissances en matière de chauffage au bois. Une enquête* menée auprès de personnes possédant un type de chauffage à bois (cheminée à foyer ouvert, à foyer fermé, poêle à bois, à granulés, chaudière à bois ou à granulés) qui dévoile d’incroyables lacunes quant au fonctionnement de ces appareils. 

LES FRANÇAIS PAS TRES DOUES AVEC LE FEU ?

Même s’il a été découvert il y a plus de 400 000 ans, il semble que la gestion du feu ne soit pas une connaissance totalement acquise.

En effet, même les personnes qui possèdent un système de chauffage à bois ou à granulés n’en ont pas encore une maîtrise totale. Les moins doués sont les Français qui ont une cheminée à foyer ouvert et qui avouent à 59 % ne pas bien savoir allumer un feu de bois. Ils sont suivis de celles et ceux ayant une cheminée à foyer fermé avec 53 %.

Les possesseurs de poêle à bois sont également en peine à 57 % ainsi que les personnes qui utilisent des poêles à granulés à 52 %.

En revanche, les propriétaires de chaudières à bois ou à granulés semblent majoritairement plus doués, avec respectivement seulement 41 % et 44 % de méconnaisseurs.

4 FRANÇAIS SUR 5 NE SAVENT PAS ALLUMER UN FEU…

Dans les faits, le manque de connaissances des Français pour allumer un feu est bel et bien avéré. Ainsi, plus de 78 % ne savent pas appliquer la meilleure méthode.

Seulement 22 % utilisent la technique de l’allumage « inversé » et qui est efficace avec tous les types d’appareils. Il faut donc disposer en bas du foyer de grosses bûches, puis par-dessus de petites bûches, ensuite du petit bois et enfin au-dessus 2 ou 3 allume-feux.

En allumant le feu par le haut, la combustion est plus progressive et le foyer peut atteindre rapidement la température optimale. De plus, c’est une technique plus écologique et moins polluante. En effet, tous les gaz produits par la combustion sont automatiquement pris dans les flammes pour être brulés également. Cela diminue aussi les fumées et la production de cendres pour un encrassement moindre de l’appareil.

… NI MEME L’ENTRETENIR !

Si l’allumage pose problème, l’alimentation du feu également ! En effet, uniquement 29 % des Français savent qu’il faut recharger en bois uniquement lorsqu’il ne reste que des braises dans le foyer.

UNE COUCHE SUFFIT

Pour avoir un feu bien entretenu et optimal, inutile de trop charger en bois. Il suffit pour cela de déposer du bois sur une seule couche. Une pratique qui n’est connue que par 39 % des personnes interrogées.

PAS DE FUMEE SANS FEU ?

Les clichés ont la vie dure et même un dessin d’enfant montre toujours une maison avec de la fumée qui s’échappe du conduit. Pourtant, un feu bien maîtrisé ne doit produire qu’une fumée à peine visible, aussi bien à la sortie du toit que dans le foyer de l’appareil de chauffage. Une notion que seulement 16,5 % des Français connaissent.

NE PAS BRULER N’IMPORTE QUOI

Tout ce qui brûle n’est pas bon ! En effet, beaucoup de Français pensent que l’on peut alimenter un poêle avec du bois de palette (65 %), du carton (59 %), du papier journal (87 %) ou du bois de cagette (74 %). Or tous ces combustibles sont à proscrire car ils sont peu calorifiques, contiennent beaucoup de polluants et risquent donc d’encrasser le poêle.

En revanche, il est effectivement possible de bruler du bois sec (88 %), des granulés (98 %) ou des bûches compressées (72 %). Mais les réponses devraient donc atteindre 100 % de représentativité pour ces trois combustibles.

BESOIN D’AIR

La gestion de l’air est primordiale pour un bon feu. Ainsi, il ne faut jamais fermer l’arrivée d’air mais toujours laisser une légère ouverture pour assurer une parfaite et longue combustion. Seulement 24 % des Français peuvent répondre correctement sur ce point.

De la même façon, la meilleure méthode pour accélérer l’allumage d’un feu est d’ouvrir davantage l’arrivée d’air. La combustion est ainsi plus rapide mais ne doit pas être trop longue pour éviter de bruler inutilement tout le bois. Uniquement 12 % des Français connaissent cette astuce pour bien allumer un feu, quand d’autres pensent opter pour des solutions alternatives qui sont contreproductives : comme ouvrir la porte du foyer (34 %), ouvrir le cendrier (8 %) ou ajouter un liquide de type « allume-feu » (39 %).

UN REEL BESOIN D’ACCOMPAGNEMENT

A la question « Que pensez-vous d’un système de chauffage capable de gérer et de suivre l’efficacité d’un feu et d’indiquer le moment idéal pour ajouter du bois ? », plus de 86 % des Français répondent par l’affirmative. Dans le détail, 22 % trouvent ce service moyennement utile et plus de 64 % très utile. Seulement 13 % pensent ne pas en avoir besoin…

« Bien utiliser son système de chauffage n’est pas à la portée de tout le monde. Comme le montre ce sondage, beaucoup de personnes pensent maîtriser le feu sans finalement avoir de notions solides. Pour éviter les problèmes et surtout apporter une solution fiable pour tout le monde, nous avons développé chez HASE une technologie baptisée iQ qui révolutionne la façon de faire du feu dans un poêle.

iQ analyse en permanence la température du foyer de combustion et est capable de contrôler les flux d’air. L’approvisionnement en oxygène est donc parfaitement équilibré. L’utilisateur dispose d’une application qui affiche l’efficacité du feu, sur smartphone pour suivre à tout moment les informations sur la qualité de la combustion dans le poêle. L’application indique aussi le moment idéal pour ajouter du bois. Avec iQ, n’importe qui devient un maître du feu », a conclu Olivier SCHNELL, Directeur Général France HASE.

Pour en savoir plus : https://www.hase.fr/technologie-iq

*Méthodologie : Enquête réalisée auprès d’un échantillon représentatif de 2 101 personnes résidant en France, âgées de 18 ans et plus. Personnes possédant un type de chauffage à bois : cheminée à foyer ouvert, à foyer fermé, poêle à bois, à granulés, chaudière à bois ou à granulés. Sondage effectué en ligne en octobre 2024 à partir du panel de répondants BuzzPress (27 500 personnes en France sondées électroniquement par email et sur les réseaux sociaux Facebook et LinkedIn). Réponses compilées et pondérées en fonction de quotas préétablis visant à assurer la représentativité de l’échantillon et afin d’obtenir une représentativité de la population visée. Toutes les pondérations s’appuient sur des données administratives et sur les données collectées par l’INSEE.