118 productions a dénoncé le mandat confié à ARTEDIS pour la distribution du film : « Opération 118 318, sévices clients »
La société de production 118 PRODUCTIONS, dirigée par manuel JACQUINET, a dénoncé par voie d’huissier, le mandat de distribution au distributeur ARTEDIS avant la sortie officielle du film « OPERATION 118 318 – SEVICES CLIENTS » qui est intervenue le 17 novembre 2010 au niveau national ; cette dénonciation est intervenue avant la prise d’effet du mandat.
La société de production 118 PRODUCTIONS, dirigée par manuel JACQUINET, a dénoncé par voie d’huissier, le lundi 15 novembre 2010, le mandat de distribution au distributeur ARTEDIS avant la sortie officielle du film « OPERATION 118 318 – SEVICES CLIENTS » qui est intervenue le 17 novembre 2010 au niveau national ; cette dénonciation est intervenue avant la prise d’effet du mandat.
En conséquence :
118 Productions entend informer l’ensemble des acteurs du marché du cinéma (Chaines tv, diffuseurs, etc.) que les sociétés Artedis et Panoceanic, dirigées par Madame Chantal LAM et son mari Pierre Richard Muller, ne peuvent se prévaloir d’aucun droit sur le film évoqué.Elle a sommé ARTEDIS de restituer sous 24 H les négatifs 35MM du film, les masters numériques et les autres éléments dont la société est propriétaire et entend faire respecter ses droits notamment auprès du laboratoire LTC au sein duquel les matériels du film ont été déposés sans son accord effectif.
Manuel JACQUINET, co-scénariste du film et producteur délégué de cette comédie sociale qui traite de l’univers des centres d’appels et des services clients mondialisés, déclare :
« Mr Pierre RICHARD MULLER et son épouse CHANTAL LAM, dirigeante de ARTEDIS ont peut être pensé qu’on pouvait récupérer à bon compte la distribution, les ventes à l’international, le mandat exclusif de vente à des chaines sans contrepartie mais les contrats sont faits et signés pour être respectés, dans le cinéma comme ailleurs. En enquêtant un peu, je découvre, malheureusement à postériori, que M. Pierre Richard Muller semble être coutumier de la pseudo-distribution d’œuvres cinématographiques dont il aime récupérer les droits … sans mettre de moyens, sans affichage, sans attaché de presse (mésaventure ce qui est déjà arrivée à Catherine Breillat il y a quelques années). Le tout en étant résident fiscal suisse, en utilisant son épouse comme prête nom et en payant les fournisseurs quand il en trouve le temps. Une notion dont il a une considération toute helvétique. »
Contact presse :
Manuel Jacquinet