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FIN 2009, 100 % DE L’ELECTRICITE CONSOMMÉE PAR LINKBYNET SERA GREEN

Date Communiqué de Presse : 18 décembre 2009

En considérant que le développement durable est une opportunité formidable pour stimuler la créativité humaine, LINKBYNET se positionne en acteur responsable de la Société.
Nous proposons donc à nos Clients des solutions innovantes afin de leur permettre d’être en accord avec leur gouvernance interne en matière de politique de développement durable.
De plus, nous avons initié de multiples chantiers au sein de nos services afin d’accompagner l’entreprise vers un monde plus propre.

1.1 – ÉLECTRICITÉ VERTE
Afin de répondre à notre volonté de déployer une démarche responsable en matière de développement durable et d’encourager les initiatives améliorant notre bilan carbone nous avons décidé d’étudier les solutions existantes pour avoir recours à une énergie plus propre. La conclusion des analyses réalisées avec EDF, notre fournisseur d’électricité au sein de notre siège de Saint-Denis, nous a conduit à opter pour leur programme «Certificat Équilibre». Celui-ci nous garantie que l’équivalent de 100% de notre consommation électrique est produite sans émission de CO2.

LINKBYNET a donc souscrit à un nombre déterminé de certificats RECS (Renewable Energy Certificate System) émis par l’Observ’er (Observatoire des énergies renouvelables – Organisme chargé en France de l’émission des certificats verts RECS et de leur enregistrement dans la base nationale). Ces certificats nous donnent accès à un équivalent de MWh produit à partir d’électricité non polluante photovoltaïque (à base d’énergie solaire) déployée sur le réseau électrique métropolitain. Cette initiative financièrement impactante est un symbole fort de la prise de conscience de l’entreprise et de sa détermination à agir pour la protection de notre environnement.

1.2 – BILAN CARBONE
En parallèle de cette démarche, nous avons décidé d’initier un bilan carbone avec l’association Action Carbone, certifiée ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie). L’objectif est de quantifier précisément notre empreinte carbone sur l’environnement. L’association sera accompagnée dans cette mission par une dizaine de collaborateurs de l’entreprise qui collecteront les informations nécessaires à la réalisation de ce projet.

Cette évaluation de nos émissions de gaz à effet de serre effectuée avec une référence reconnue en la matière nous permettra d’envisager une réduction quantifiable de notre production en:
– Identifiant des marges de manoeuvre envisageable en fonction de nos postes d’émissions principaux et des contraintes de notre activité
– Définissant des pistes d’actions (efficacité énergétique, réduction des consommations, plan de déplacement des salariés, etc.)
– Déterminant des objectifs réalistes de réduction des gaz à effet de serre que nous produisons, tout en pouvant assurer une mobilisation des collaborateurs.

Le choix de s’associer à un organisme tel qu’Action Carbone nous permettra de pouvoir compenser notre impact sur le climat en finançant des projets de réduction des gaz à effet de serre par :
– l’identification des actions les plus pertinentes menées par des ONG reconnues en faveur de la réduction des gaz(s) à effet de serre.
– La sélection des projets selon le cadre de référence MDP – Mécanisme de Développement Propre – régie par la convention des Nations Unies sur le changement climatique. Élaboré dans le cadre du Protocole de Kyoto l’objectif de cette référence MDP est de réduire dans l’atmosphère les émissions de gaz à effet de serre, en favorisant des investissements financiers au profit de des technologies moins polluantes. Les critères MDP se déclinent ainsi :
– Mesurabilité de la quantité de carbone évitée ou séquestrée
– Vérification par un organisme indépendant des tonnes de CO2 évitées ou séquestrées
– Contribution à la préservation et/ou restauration de l’environnement local
– Création d’emplois et de revenus pour les populations locales

1.3 – ÉNERGIE & LE RECYCLAGE AU CŒUR DU DÉBAT
Les problématiques liées à la consommation d’énergie et au recyclage des composants électroniques sont au coeur des préoccupations des Directions Informatiques.

D’après le cabinet d’analyse IDC, 50 % des investissements en matériel informatique sont consacrés à la consommation énergétique dudit matériel. Selon Stephen Herrod, responsable technologique chez Vmware, la plupart des serveurs et des ordinateurs de bureau représentent une moyenne de 70 à 80 % de leur consommation affichée, même au repos. Ainsi, en “réduisant la consommation des serveurs et des desktops en période d’inactivité, comme durant la nuit ou les week-ends, nous pouvions aider les consommateurs à réduire de 25 % ou plus leur consommation électrique sans affecter ni les applications, ni les utilisateurs”.

Ce constat est d’autant plus alarmant lorsque l’on considère que les serveurs sont utilisés en moyenne à 15 % de leur capacité, d’où un gaspillage énergétique considérable.

Le déploiement d’une véritable démarche de limitation de la consommation énergétique des plates-formes informatiques devient donc un élément différenciant capital pour les entreprises, que ce soit pour privilégier leur compétitivité ou pour témoigner de leur engagement dans une démarche volontaire de prise en compte des questions environnementales.

1.3.1 – L’offre @gile ® un pas de géant vers l'”infogérance écologique”
Dans ce contexte, nous avons décidé de lancer une offre commerciale où nous proposons à nos Clients, pour une qualité de service supérieure, de bénéficier de serveurs virtuels et non plus de serveurs physiques.

La limitation du nombre de serveurs physiques et l’optimisation de l’utilisation des plates-formes de nos Clients favorisent :
– La diminution de la fabrication de composants électroniques, et donc de l’utilisation des matériaux toxiques et difficilement recyclables qui les constituent.
– La réduction de consommation électrique grâce à la virtualisation : 15 machines virtuelles fonctionnent sur l’équivalent d’un seul serveur, ce qui réduit la consommation électrique de 80 à 90 % (source VMware).
– La limitation des besoins énergétiques pour le refroidissement des salles blanches au sein des datacenters du fait d’un nombre inférieur de serveurs à refroidir
– la baisse des émissions de C02 et donc de l’empreinte carbone
– la baisse de pollution liée à la diminution des interventions sur site qu’elles entrainent. En effet, au travers d’une offre 100 % virtuelle, 100 % service, la plus grande majorité des interventions se déroulent à distance
– le recyclage (peu développé dans le secteur de l’informatique) au niveau des serveurs comme au niveau des emballages (baisse d’utilisation des cartons, plastiques et mousses) en limitant considérablement leur nombre.

1.4 – LE TRI SÉLECTIF
LINKBYNET a passé fin 2008 une étape en matière de sensibilisation interne des salariés et des managers.
En créant la commission LINKBYNET 2.0, un groupe de collaborateurs a décidé de se mobiliser pour :
– sensibiliser les utilisateurs internes que sont tous les membres de l’entreprise,
– lancer des actions concrètes afin de baisser la consommation d’énergie de nos outils (lumière, ordinateurs, imprimantes, etc.),
– déployer des solutions pour limiter l’utilisation de produits polluants (toners d’imprimante, produits ménager, etc.),
– améliorer le recyclage des produits usagés (piles, cartouche d’imprimantes, canettes).
Certains projets ont avancé de façon significative:
Le tri sélectif
Le constat est simple: une entreprise de plus de 150 personnes génère un volume important de déchets et le tri sélectif que nous réalisons à nos domiciles doit pouvoir être adapté au sein de l’entreprise. Si nous nous sommes naturellement dirigés vers les organismes publics chargés du traitement des déchets, ceux-ci n’étaient pas en mesure de nous apporter les solutions concrètes dont nous avions besoin. C’est donc avec des entreprises du secteur privé que nous avons finalisé cette démarche.

Notre choix s’est porté sur la société SITA (filiale du groupe GDF – Suez) qui proposait de mettre à notre disposition une benne de 7m3 pour les déchets recyclables (type papier non gras, carton, bois, métal…) et ceci à moindre coût. L’utilisation de cette benne a été optimisée en contactant et en sensibilisant les autres entreprises du bâtiment. Nous la remplissons avec nos déchets triés. Une fois pleine, SITA vient la récupérer et nous en dépose, une, vide.

En parallèle, quarante poubelles ont été achetées afin de récupérer et de trier dans un maximum d’endroits (bureaux, salles de réunion, espaces de vie) les déchets du quotidien. Nos agents d’entretiens ont, eux aussi, été formés pour qu’ils pratiquent un tri sélectif au sein de différents sacs bien identifiés.

1.5 – LA RÉCUPÉRATION DE CARTOUCHES D’IMPRIMANTE
De même, les imprimantes nécessitant une grande quantité de cartouches, il devenait opportun de recycler ces dernières.

Nous avons donc mis en place un système de stockage de toutes les cartouches vides. Une fois un nombre conséquent de cartouches atteint, nous informons un organisme spécialisé qui se charge de les récupérer et de les recycler.

1.6 – PILES USAGÉES ET RECHARGEABLE
Nous utilisons un nombre important d’outil nécessitant l’utilisation de piles. Nos collaborateurs en consomment aussi beaucoup dans leur vie privée. Nous avons donc mis en place une boîte ou ces piles usagées sont récupérées. Une fois la boîte remplie elle est vidée dans les endroits ou le recyclage de ce type de déchet est organisé.
Par ailleurs, pour éviter la multiplication des piles neuves nous avons aussi généralisé l’utilisation de piles rechargeable au sein de LINKBYNET.

1.7 – LIMITATION DES IMPRESSIONS
LINKBYNET s’oriente jour après jour vers le «zéro papier» au travers de ses processus de communication interne et externe. Pour atteindre cet objectif, plusieurs actions ont été entreprises:
– Tous nos mails intègrent la phrase suivante : «Avant d’imprimer cet e-mail, pensez à l’environnement» afin de sensibiliser nos contacts comme nos collaborateurs sur l’importance de limiter les impressions de document sachant qu’environ 15 % des impressions ne sont pas récupérées.
– L’utilisation des feuilles de brouillon pour les impressions n’ayant pas de caractère prioritaire a été généralisée.
– L’entreprise a fait l’acquisition d’une imprimante qui réalise des impressions recto / verso, contribuant ainsi à limiter l’utilisation du papier.

A propos de LINKBYNET :
Créée en 2000, LINKBYNET est née de l’expertise de plus de dix ans dans le monde de l’informatique de Patrick et Stéphane AISENBERG. Spécialisée dans l’hébergement et l’infogérance, LINKBYNET propose des services performants et de haute qualité aux entreprises. LINKBYNET compte parmi ses 800 clients des groupes comme Sodexo, Saint-Gobain, Euromaster.
LINKBYNET est une SAS au capital de 373.000 euros qui emploie plus de 200 personnes
L’expertise de LINKBYNET rassemble plusieurs compétences :
– La qualité de service comme leitmotiv pour la réalisation et la prise en charge des projets qui lui sont confiés.
– La maîtrise d’un bout à l’autre des infrastructures informatiques, tant au niveau des couches réseaux que des “applicatifs”.
– L’exploitation et l’infogérance de plateformes : les ingénieurs et les administrateurs de LINKBYNET couvrent toutes les étapes de la vie des sites pour les optimiser et les faire évoluer.
– La maîtrise des services d’hébergement Internet sécurisés, à haute capacité et haute disponibilité, quelle que soit la complexité de la plate-forme.
– La performance des plates-formes : en optimisant leurs charges, en évaluant régulièrement leurs forces et leurs faiblesses et en effectuant les choix technologiques pertinents.
www.linkbynet.com

Contacts presse LINKBYNET :
Cyril Klepper
Tél : 01 48 13 21 18
Fax : 01 48 13 31 25

Mail : c.klepper@linkbynet.com