Les investisseurs maintiennent leurs engagements
La vie de l’entreprise et l’information allant à un rythme effreiné,
Une situation méritait sa synthèse,
Tout d’abord toute l’équipe remercient toutes celles qui nous ont adressés un tel courrier postal et courriel, que nous avons mis un dizaine de jours pour répondre à chacune et chacun, le soutien et l’engouement, qui a suivi notre démarche d’ouverture de notre capital à des investisseurs exterieurs.
La première analyse est d’avoir pu prendre en compte 104 demandes au total, dont 30 qui n’avait pu aller plus loin dès le premier jet, puis les jets suivants nous ont permis d’avancer avec des investisseurs réellement interessé par l’idée novatrice et le concept.
La date butoir du 31 Mars a été respectée, en affinant et en approfondissant, ce qu’ils attendaient aussi de notre part dans cette opération.
Force a été de constater, qu’un seul investisseur français a manisfesté son interêt, et que sur les sept investisseurs avec lesquels des mises au point sont d’actualités pour parfaire les réglages de la réussite du projet, 2 sont indiens, 1 est chinois, 2 sont américains, 1 anglo saxon et 1 tchèque.
On comprend mieux pourquoi, les entreprises, les pme et les tpe Françaises se sentent seules et abandonnées, dans leur conquête de nouveaux marchés, et surtout résignées à traîner des pieds, voir fermer.
Ce n’est plus une question de combat et de survie au quotidien, c’est le desinterêt total pour ne pas dire l’abandon du savoir et de sa transmission.
Notre démarche qui a paru pour le peu original aux yeux de certains, à séduit hors de notre pays…D’un coté nous nous rejouissons du soutien qui nous a été apporté par les nombreux courriers, en nous encourageant dans l’innovation d’interesser des compétences, et de petits porteurs à ce type de projet.
Nous avons même pu avoir des reflexions de banquiers et de representants d’investisseurs nous dire ; mais vous rêvez mon cher monsieur, croyez vous que nous allons investir dans une sarl au capital de 800 euros, nous ce qui nous interesse c’est pêcher le gros (comprendre s’en mettre plein les poches)… ou comment allez vous procéder à l’augmentation de capital personne ne vous suivra !!! Vous êtes des “minots” vous devriez prendre des cours…
Ce qu’il n’est pas dit, c’est que certains ont des interêts dans des entreprises, qui nous sont concurrentes, et que par notre mode de fonctionnement et notre processus, nous grapillons chaque jour un peu plus de leur part de marché en allant les chasser sur leurs terres…
C’est un peu le combat de David et Goliath, et que Goliath trop confiant perd chaque jour un peu plus de sa force.
C’est aussi cette combativité et cette innovation qui a séduit ces investisseurs hors de nos frontières, à venir s’interesser de plus près, et à nous accompagner à developper le réseau 1 DSens.
Certes l’approche de la finance est un critère, mais le concept humain et social est sa sève, et bien qu’un nouvel investisseur se soit présenté après le 31 mars, nous n’avons écarté aucune possibilité de collaboration avec ceux qui avait un projet, d’accompagnement, de conseil et des valeures humaines comme vecteur de l’entreprise.
Nous sommes donc 8 pour donner les orientations, batir les fondations d’une sarl au capital de 800 euros qui va muter en SAS et un capital de 40 000 euros.
Les séances de travaux continuent a un rythme soutenu, car l’objectif et la dead line sont prévus pour le 15 Mai. Ensuite viendront les phases administratives, la mise en oeuvre, le sourcing tourné vers l’etranger, et pour le gros contingent des représentants investisseurs de ces pays qui non seulement croient au projet, mais aussi ils y participent activement.
La fabrication qui est désormais tourné vers l’exterieur, et donc favorise la baisse des coûts d’achats de 40%, au regard des achats réalisés jusqu’à maintenant en France. Et oui on se plaint de voir se delocaliser, de transferer des competences hors de notre pays, mais la vraie question est ; pourquoi les investisseurs français délaissent les entreprises locales, régionales et nationales ???
En réalité ce n’est pas le coût de la main d’oeuvre, qui ne permet pas d’être compétitif en France, c’est l’absence totale d’accompagnement des entreprises dans leur mutation et progression…Et les charges qui pèsent…très lourdement, trop pour ne pas employer la langue de bois.
Pour exemple, avec ce dont l’entreprise à du s’acquitter avant d’encaisser le moindre denier, nous aurions pu créer 3 emplois à plein temps et un 4/5eme pendant 26 mois…
Une abération de plus dans un pays qui soit disant lutte pour la création d’emploi, et donc de richesse, dans un ère du pouvoir d’achat en déclin !
Les investisseurs ont été estomaqué de telles constatations, et c’est avec nos tripes que nous avons décidé d’aller de l’avant…
Laissant les institutions inutiles, mais que contribuables nous payons tous, pour des raisons de lobbing, de clientèlisme electoral, et des banques qui perdent des milliards de leurs prises de risques outre France ,et au détriment des petits porteurs, et qui ne seront nullement poursuivis dans leur erreur de gestion comme le serait la plus simple de nos petites entreprises…et tout çà avec l’appui de l’état.
Ces milliards perdus au travers de nombreux groupes bancaires, n’auraient ils pas été plus pertinent de prêter, d’accompagner les entreprises françaises, qui auraient indéniablement pu créer beaucoup plus de richesses que ces pertes !!!
Il s’agit donc incontestablement d’un manque de volonté de leur part, et mais aussi d’une volonté réelle de ne rien faire !!!
A Quand les possibilités d’implantions de groupe bancaire indien, asiatique qui par leur pertinence à favoriser la création d’une dynamique économique, viendront conquérir les terres de ces vieux mastodons risqueurs de capitaux qui ne sont leurs…?
Bien qu’au départ de notre action, nous avions toutefois prévu qu’il y aurait au minimum 2 investisseurs Français dans le développement et l’accompagnement de l’entreprise 1 DSens.
A la cloture de l’ouverture au capital de la société, nous avons changé notre fusil d’épaule.
Il n’y aura que des investisseurs etrangers, nous externaliserons les études en exportant le savoir, nous produirons, nous fabriquerons dans leurs usines, et nous importerons en France à des prix de vente de 30 à 40 % moins chers que nos concurrents.
Bien que nos axes de développements n’ont pas été dévoilé au grand jour pour le moment, nous en avons réservé la primeur à Stephanie Polette du journal des entreprises du Rhône, à qui nous avons accordé une interview exclusive concernant le processus d’ouverture de notre capital,
Et nous la remercions vivement au passage de ce post pour la pertinence et efficience des questions posées.
L’équipe reviendra vers vous au travers du blog après la prochaine réunion de travail, qui aura lieu le 24 avril prochain.
Avec nos sincères remerciements pour votre soutien et votre interêt dans notre démarche conceptuelle, et bien entendu le plaisir de vous lire.
Laurent
http://www.1-dsens.fr/